Ménage de printemps
D'abord, je suis énervée des murs noircis par la fumée du poêle partout dans la maison. Super C., si tu m'entends, peux-tu demander à ton Super G. de mari de venir me redresser ce putain de tuyau parce que pour avoir fait quelques expériences de bricoleuse jusqueboutiste, j'ai tenté l'enfumage total pour voir par oùsque ça passait... Toi et moi bien sûr, pendant ce temps, on prendra un petit café avec des tablettes entières de chocolat! Je fume, certes, mais pour avoir déjà vécu sans poêle, je n'ai jamais noirci les murs des toilettes en un mois. Quand je colle une carte postale au mur, il y a sa marque indélébile au bout d'une semaine. Breeeef, tout ça pour dire que j'arrête la déco et les travaux tant que ce problème n'est pas réglé. Mais dans l'atelier, c'était quand même le foutoir extrême. Évidemment c'est une pièce qui "vit", un peu comme ma table de salon, y'a toujours un truc qui traîne. Mais quand je n'ai pas su où poser ma surjeteuse, j'ai compris. J'ai tout sorti, nettoyé, réarrangé, bougé quelques meubles, pulvérisé quelques bombes de peinture 94 et là, je respire. Visite guidée genre reportage choc des photos. Pour ceux qu'une sewing room n'intéresse pas, vous pouvez reprendre une activité normale.
Le Suédois m'a beaucoup aidé, c'est vrai: étagère, escabeau, lampe, porte documents, bureau, mini commodes, boites roses, tabouret... D'autres boites viennent d'Alinéa, tout comme le lampadaire, ou de chez Hema, ainsi que les classeurs blancs, la housse de table à repasser et la corbeille en métal. Les hexagones étaient à Cultura, la table singer, la corbeille poubelle et la chaise, chinées il y a longtemps et le lustre déjà là depuis les années 70...
Les détails:
C'est la seule pièce opérationnelle de la maison et ça ne m'étonne pas du tout...